libérer momentanément de tout souci financier, par l’octroi de bourses, de subsides ou de toute autre manière, un ou des jeunes écrivains, de langues française et d’origine suisse, pour leur permettre de se consacrer pleinement à un projet. Parallèlement, faire connaître l’oeuvre, les écrits et la personnalité de Georges Borgeaud qui, à cet effet, a désigné la fondation comme son héritière.